01/02/2009 | Olive et Georges
A vrai dire, même solidement amarrés, les quarante tonnes d'Ondine ballottent sévèrement à chaque passage de gros cul, et mes parents n'en dormirons pas de la nuit. Le soir, j'aperçois une étrave par la fenêtre de la salle de bain: j'ai le temps de me brosser les dents avant de voir passer les lumières de la timonerie qui va avec... j'arrête d'essayer d'évaluer les tonnages, trop gros!
19:25 Publié dans 3- Le convoyage, partie Hollande/Belgique | Lien permanent | Commentaires (0)
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